samedi 5 janvier 2008

Sweet Hom'

Acte I Scène première - L'art de communiquer au moyen-âge, c'est à dire une fois passés 40 ans
elle : "Je t'assure chéri, là, je vais avoir beaucoup de mal à t'embrasser !"
lui : "... ..."
elle : "Comment ? qu'est-ce que tu dis ?"
lui : "... ..."
elle : "Ecoute, parle plus distinctement, on va pas y arriver là !"
lui : " .... !!!"
elle : "Et tu t'énerves, en plus ! Bouge pas, je reviens."
elle revient avec un ouvre-boîte à la main ...
lui, gigotant : " ... !!! ... !!! "
elle : "T'en fais du bruit là-d'dans ! Tu parles, t'étouffe oui ! N'aie pas peur, laisse-moi faire."
lui qui s'agite comme un fou dans un grand bruit de ferraille : "!!!!!!!"
elle : "Hé, ho, calme-toi ! Tu me fais confiance ?"
lui, cette fois, gesticule dans tous les sens, comme un malade, ses mains agrippées à sa tête : " ... ! ... ! ... !!! !!! !!! !!! "
elle : "Remarque, de toute façon, t'as pas trop l'choix."
lui, s'énervant encore plus, commence à décrire des grands cercles avec ses bras ; il lui fait signe de s'en aller "!!!!! !!!!! !!!!!"
Et, tout à coup, encore plus brutalement, en essayant d'arracher le casque de son armure, il la percute d'un coup sec, elle tombe violemment à terre !
elle se relève, pose l'ouvre-boîte, tapote le casque puis tourne les talons : "Heureusement que ça rouille ces trucs là ..."

Cet saynète est dédiée à toutes les armures masculines (*) et à toutes les femmes qui s'y cognent.
(*) Le chevalier à l'armure rouillée - Robert Fisher, Ed. Ambre et lumière
Photo prise aux Puces de St Ouen, août 2007

Toujours rechercher le soleil

J'ai peint cette toile il y a assez longtemps ; au sortir d'une période un peu difficile de ma vie, comme nous en traversons toutes et tous, parce que je me sentais re-naître et qu'il me fallait, à cet instant-là, l'inscrire. Parce que je démarrais un cycle nouveau.
Parce que je me sentais être et devenir, exister profondément, tout simplement. Comme en ce moment où je me mets à bloguer (-;
Je dédie les vers ci-dessous à tous les Zamoureux de la vie ; à celles et ceux qui ne baissent jamais les bras, à celles et ceux dont le coeur reste jeune parce qu'il bat toujours la chamade, éternellement ; à celles et ceux qui croient, qui osent croire ; à tous ceux qui doutent.
Quelle que soit la profondeur de notre nuit, et parce que nous y mettons tout notre coeur, notre soleil intérieur se (re)lève toujours.
Lumineusement vôtre, et en toute modestie.
"Chacun de nous inévitable,
Chacun de nous illimité - chacun de nous avec ses droits
d'homme ou de femme sur la terre,
Chacun de nous admis aux desseins éternels de la terre,
Chacun de nous ici aussi divinement que n'importe quel
autres."
Extrait de "Salut au monde !" - Feuilles d'herbe - Poèmes - Walt Whitman

Femme dans la lunière - Acrylique sur bois 80x60

Quoi mes groles ?

Il y a parfois de gros mâlins (des Zhommes surtout, comme de par hasard, enfin là, un homme) qui disent (surtout à des femmes, enfin là, à moi en l'occurrence) que la sur-consommation de chaussures est principalement liée à la non-consommation de sexe ? Vous y croyez vous à ces conneries ???
Depuis, je m'interroge...
Alors, finalement, ça doit être un drôle de truc pour un mec d'être tout le temps droit dans ses bottes, non ?
La prochaine fois qu'il y en a un qui veut me botter les fesses, c'est sûr je vais le vivre différemment !!!
Et moi qui pensais ne pas avoir les deux pieds dans le même sabot, ben finalement, j'n'en suis plus si sûre .... arf.
Bien à vous.

Photo prise dans mon entrée, août 2007

Totalement Carlabrunisé ! (*)

Make Him up ! BlingBling ... arf, i'ze not dêde ?
Dans la suite logique du "travailler moins", je ne puis résister à vous ressortir une vieille couverture des Inrockuptibles de février 2003 ... Hé oui, en 2003, il arpentait déjà les médias, le p'tit Nicolas !
En réalité, donc - punaise - on en mange depuis un bon moment des plats à la sauce Nain d'jardin ; quant à ce qu'il reste de ces 5 ans, sera-ce une bonne fois pour toutes le dessert ?
(*) merci à mon amie Poulette-Tika qui m'a inspiré cette chouette bétîse !

vendredi 4 janvier 2008

Travailler moins pour gagner plus (*)

Des maux jetés à la pelle et en mêlées
Cliquez sur l'image, puis jouez à lire à haute voix les phrases à Monsieur Grand z'Hazard, cet autre toujours là quand il faut.
Petit poucet Sub'Liminal, laissez-moi des mots que vous aurez démélés.
Bien à vous.
(*) ou, au choix, comme dit le courrier international de cette semaine (n°896), dans son dossier spécial décroissance "Travailler moins pour gagner moins et vivre mieux"

Sans titre - Collage sur Canson A3

Mots d'hauteur


BONNE ANNEE
2mille8



parce que
l'art est à la vie
ce que l'eau
est au corps
70 %
de saine vitalité.


Depuis les étoiles
the smart cat vous salue bien.
C'est toujours le premier graow qui compte





The smart cat - Gouache noire sur Canson A3